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    L’Évangile dans sa simplicité

     

    On a souvent tendance à trop compliquer l’Évangile de Jésus-Christ ! Il est pourtant, par la grâce de Dieu, d’une simplicité “évangélique” ! Voici un exposé de ce simple Évangile, à la portée des petits enfants.

    Voici l’Évangile de Jésus-Christ :

     

    1. Dieu a créé l’homme et la femme. Il les a créés à Son image.

    2. Dieu a ordonné à l’homme de dominer sur la terre et sur tout ce qu’elle contient.

    3. L’homme et la femme ont désobéi à Dieu. Le péché, c’est la désobéissance à la Parole de Dieu. Avec le péché, la maladie et la mort sont entrées dans l’humanité. L’homme s’est retrouvé coupé de Dieu, dans un état de mort spirituelle.

    4. Dieu a décidé de racheter l’homme de la condamnation qui pesait sur lui, à cause de son péché.

    5. Pour que le péché de l’homme soit racheté, il fallait que Quelqu’un accepte de payer le prix de ce rachat. Tous les hommes étant nés dans le péché, aucun être humain pécheur ne pouvait payer le prix du rachat de l’humanité.

    6. Le péché de l’humanité ne pouvait être racheté que par le sang versé par un Etre qui devait être né pur, parfait et sans péché.

    7. Jésus, le Fils de Dieu, S’est incarné dans une chair semblable à la nôtre, mais sans péché. Il a été conçu par le Saint-Esprit d’une manière entièrement miraculeuse. Il est l’image de Dieu, Dieu fait Homme.

    8. Jésus a vécu une vie exemplaire sur la terre. Il a été le seul à obéir parfaitement à tous les commandements de la Loi de Dieu. Il est aussi le modèle qui nous permet de voir de quelle manière peut vivre un Chrétien entièrement conduit par l’Esprit.

    9. Jésus fut crucifié, Il a été enseveli pendant trois jours et trois nuits dans la tombe, et Il est ressuscité le troisième jour.

    10. Tous ceux qui se sont repentis de leurs péchés et qui croient en Jésus-Christ reçoivent un plein pardon, et la vie éternelle. Dieu les fait passer par une nouvelle naissance spirituelle, qui fait d’eux des enfants de Dieu, de nouvelles créatures en Christ. Toutes les choses anciennes sont passées, et toutes choses sont devenues nouvelles.

    11. Ceux qui se convertissent à Christ doivent aussitôt passer par un baptême d’eau par immersion. Celui-ci représente notre mort et notre résurrection en Christ. Notre chair a été crucifiée avec Christ, nous sommes morts en Christ, nous sommes ensevelis avec Lui par le baptême, et nous sommes ressuscités en Lui et avec Lui.

    12. L’Eglise de Jésus-Christ n’est pas un bâtiment ni une dénomination. Elle est le Corps vivant de tous ceux qui sont nés de nouveau en Christ, qui est la Tête de Son Eglise.

    13. Sur la croix, Jésus S’est chargé de nos péchés et de nos iniquités, mais aussi de nos maladies et de nos infirmités. Son sang nous purifie de tout péché, et Ses meurtrissures nous guérissent de toute maladie.

    14. Dieu veut que tous les hommes soient sauvés, guéris et remplis de Son Esprit.

    15. La Bible, qui est la Parole de Dieu, est la Volonté de Dieu pour nous. Le Saint-Esprit n’agit jamais en contradiction avec la Parole de Dieu.

    16. Dieu veut que nous soyons des témoins remplis de Son Saint-Esprit. Il donne Son Esprit à ceux qui Le Lui demandent et qui Lui obéissent.

    17. Dieu veut que nous soyons forts en Lui, et que nous accomplissions les mêmes œuvres que Jésus. 

    18. Dieu veut que nous marchions par l’esprit et pas par la chair. Dès notre conversion, Il nous transforme à l’image de Jésus-Christ. Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a prédestinés à être semblables à l’image de Son Fils.

    19. Dieu veut que nous L’aimions par-dessus tout, et que nous aimions notre prochain comme nous-mêmes. L’amour est l’accomplissement de toute la Loi de Dieu. Seul Jésus-Christ peut nous remplir de l’amour de Dieu.

    20. Jésus a promis de venir chercher ceux qui L’aiment et qui sont prêts pour Son retour. Sans la sanctification, nul ne verra le Seigneur.

     

    http://vieetlumiere.onlc.fr/30-Culture-Biblique.html 

     

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    L'amour Agape

    L'amour Agape

    by Gary Wilkerson

    Quand Jésus est apparu aux disciples après la résurrection, Il leur a enseigné une dernière leçon. Elle a commencé lorsqu'Il a demandé à Pierre s'il L'aimait. Il lui a posé cette question à trois reprises et, à chaque fois, Pierre a répondu oui. En retour, Jésus a répondu à chaque fois : “Pais mes agneaux – pais mes brebis” (Jean 21:15-17).

    Le mot grec utilisé par Jésus dans sa question pour « aimer » est agape, indiquant un amour désintéressé, inconditionnel, prêt à se sacrifier. Ce genre d'amour dit : “Si vous me méprisez, Je vous donnerai. Si vous me rejetez, Je vous donnerai quand même. Et si vous me blessez, Je continuerai à vous donner.”

    Mais quand Pierre répondait à Jésus, il utilisait un mot différent pour aimer. A chaque fois qu'il a assuré son amour pour Christ, il a utilisé le mot phileo, indiquant un amour fraternel. Ce genre d'amour est partagé – il reçoit aussi bien qu'il donne. Pierre disait à Jésus, en substance : “Puisque Tu me donnes, je Te donnerai.”

    Cette réponse n'était pas suffisante pour Jésus. C'est pour cette raison qu'Il a répondu à Pierre à chaque fois : “Si tu M'aimes, nourris Mes brebis.” Il disait : “Mon peuple a besoin d'aide, Pierre. Prends soin d'elles. Nourris les. Donne ta vie pour elles.”

    Jésus mandatait Pierre pour une vie qui se donne. Il savait que le disciple y était prêt parce que, au cours des semaines précédentes, Pierre avait été profondément brisé. Ce que Jésus lui dit ensuite décrit le cœur même d'une vie qui se donne : le brisement : “En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi” (Jean 21:18-19).

    Avec ce dernier enseignement, Jésus a mené Pierre d'une vie bénie à une vie brisée qui donne. En faisant cela, Il a donné à Pierre les clés même du royaume. La peine, l'angoisse et le chagrin attendaient Pierre dans cette vie qui donne que Dieu avait préparé pour lui. Mais, comme nous le dit l'évangile de Jean, même la mort de Pierre a donné gloire à Dieu.

    Toi et moi ne ferons peut-être pas ce que nous voulons dans la vie, mais nous pouvons avoir une vie qui reflète la gloire de cette nature qui donne de notre Seigneur. En donnant ton être entier pour les autres avec agape, il est possible que tu sois déversé douloureusement, comme le vin de sainte cène. Mais en faisant ainsi, tu deviendras centré sur les autres, puissant, influent, et le monde verra la différence. Ta vie qui donne révélera la gloire de Dieu lui-même – tu seras un témoin pour le monde de Sa nature généreuse et aimante.



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    Bon weekend

     

    Il faut que vous naissiez de nouveau

    Le royaume des cieux est ouvert à ceux qui se repentent. Ceux qui refusent de se repentir commettent un péché qui ne saurait jamais leur être pardonné. En effet, qu'est-ce que le péché contre le Saint-Esprit sinon la fuite obstinée et persévérante devant la repentance, l'opposition à l'esprit de la « métanoïa », le refus de la reconnaissance des droits de Dieu ?

    L'exemple de l'apôtre Paul.
    L'apôtre Paul a passé par une véritable « métanoïa » sur le chemin de Damas. Auparavant Dieu était pour lui le dieu des pharisiens que l'homme peut rencontrer sur le terrain du contrat légal. Celui qui accomplissait strictement la loi devait être sauvé. Mais lorsque Paul fut placé face à face avec le Dieu vivant, il dut reconnaître que « nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi » (Rom.3 : 20).
    L'esprit du « nous » s'appuie sur sa propre justice, sur son appartenance au peuple élu (Phil. 3 : 8). L'esprit de la « métanoïa » n'a d'autre recours que de se réfugier dans la justice que nous a acquise Christ sur la croix. Derrière le scandale de la croix, l'apôtre découvre le plan du salut de Dieu, dans le Crucifié il reconnaît son Seigneur.

    Une illustration biblique de la repentance
    La meilleure illustration de la repentance est certainement l'histoire du fils prodigue (Luc 15 : 11-32). Cette parabole nous décrit, d'un côté, le comportement de celui qui n'a pas connu la repentance, de l'autre, elle nous montre quelle réalité placer derrière ce mot.
    Il est évident que ces différents aspects de la repentance, exposés successivement ici pour des raisons de clarté, ne se présentent pas de façon aussi schématique dans la réalité.

    a) Quel est le comportement de l'homme qui ne connaît pas la repentance?
    « Mon père, donne-moi... le fils ayant tout ramassé partit... il dissipa son bien en vivant dans la débauche ».
    Le jeune fils veut vivre sa vie, il veut être indépendant du père, partir au loin... Il ne pense qu'à lui: « Donne-moi ». II ramasse tout pour pouvoir le dissiper à sa guise, pour satisfaire ses désirs et ses convoitises.
    Ni le père, ni le frère ne comptent dans sa pensée: le « moi » occupe seul toute la place. Notons d'ailleurs que le frère aîné illustre d'une autre manière la même attitude: « Voici tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné... pour m'amuser ». C'est encore typiquement l'attitude opposée à la « métanoïa », c'est le propre juste qui s'appuie sur ses mérites en face de Dieu et revendique ses droits. Dieu est le partenaire d'un contrat « Je t'ai servi, je n'ai jamais failli à mes obligations, mais tu ne m'as pas donné ». C'était, en fin de compte, Dieu l'associé déloyal.

    b) En quoi consiste la repentance ?
    Le changement d'attitude du fils cadet après son expérience décevante illustre les différents aspects de la repentance. Cet exemple nous montre qu'elle affecte l'homme tout entier: la pensée, le sentiment et la volonté conjuguent leurs efforts et conduisent à un acte concret et précis.

    Chez celui qui se repent :
    la pensée entre d'abord en action :
    « Etant rentré en lui-même » (Luc 15 : 17).
    Jusqu'à présent, il vivait comme en dehors de soi, ses pensées se dispersaient sur mille choses extérieures. Maintenant, il oriente sa réflexion en sens inverse, vers l'intérieur, pour examiner sa vie. A la suite de cet examen, une nouvelle appréciation des valeurs se fait jour: « Ce qu'il avait fui (la maison paternelle), il le désire; ce qu'il avait recherché (la terre étrangère), il l'a en horreur » (F. Godet). La « métanoïa » est en premier lieu un renversement de l'échelle des valeurs.

    Il est touché par des sentiments d'affliction.
    « Combien de mercenaires... et moi ici ». Les regrets, les pleurs mêmes peuvent faire partie de la repentance (voir Luc 7 : 38 ; Mat. 5: 4; 26: 75; Luc 18: 13; Jacq. 4: 9; 2 Cor. 7: 10; Es. 6: 6-7). « Etre pécheur et être désespéré est une seule et même chose, parce que le pécheur c'est celui qui vit dans la contradiction avec lui-même et avec Dieu ».

    Sa volonté entre en action.
    « Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai... ».
    La repentance comporte la décision de renoncer aux anciennes voies, de se détourner du péché (2 Chr. 6 26 Jean 5: 14), de la méchanceté (Actes 8 : 22), des oeuvres mortes (Héb. 6 : 1), de la tiédeur, de la suffisance, de l'aveuglement (Apoc. 3: 15, comme de tous les autres péchés (Apoc. 2: 21; 9: 21; Jacq. 4: 8).

    Son esprit est convaincu de péché.
    La pensée, le sentiment et la volonté ne peuvent conduire à un résultat spirituel que si l'esprit est touché par l'Esprit de Dieu. Or, le Saint-Esprit convainc de péché, de justice et de jugement celui qui vit loin de Dieu (Jean 16: 8) : « Je dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ». Pour la première fois, il pense au père. Ce père est bon et grand, mais lui, il est indigne et vil: « Je ne suis pas digne ». La prise de conscience de sa propre indignité en face de Dieu est certainement un élément essentiel de la repentance.

    Il retourne à Dieu.
    « Il se leva et alla vers son Père... » : la décision n'est efficace que lorsqu'elle est suivie d'actes.

    Il lui confesse son péché.
    « Mon père, j'ai péché ». La confession du péché à Dieu est un signe de vraie repentance (voir Ps. 32: 5; 2 Sam. 12: 13; Es. 6: 5; Mat. 3: 6; Luc 23: 40; I Jean 1: 9; Lév. 26: 40; Job. 33: 27).

    La conséquence normale de la repentance, c'est une vie nouvelle: des fruits dignes de la repentance.
    Le fils prodigue restera certainement dans la maison du père, en communion avec lui, le servant volontairement et joyeusement (voir Matth. 3 : 8 ; Luc 3 : ' 11 ; Es. 1 : 16-17 ; Dan. 4 : 27 ; Actes 26 : 20).
    La repentance est donc un acte qui engage l'homme tout entier : esprit (par la conviction du péché, la prière, le retour à Dieu), âme par la participation de sa pensée, de ses sentiments et de sa volonté) et corps (par les actes, les fruits de la repentance).

    Tourné d'abord vers le passé, l'esprit constate un état anormal: le péché; il reconnaît qu'il a fait fausse route; puis, tourné vers l'avenir, il s'engage dans le chemin qui mène à une vie nouvelle.
    Une repentance selon Dieu débouche toujours sur le salut (2 Cor. 7 : 10). Comme la métamorphose est le changement total de la forme, la « métanoïa » est le changement radical du « nous », de l'esprit, de la pensée, des sentiments, de toute l'attitude intérieure.

    « La repentance n'est pas seulement une étape de la conversion... Elle est la réalité même, intérieure et profonde, de la conversion ; la conversion vécue et gardée; l'attitude profonde et stable d'un homme dont la vie est tournée vers Dieu » (J. Serr).

    Une vraie repentance est à la fois don de Dieu (Actes 5 : 31 ; 11 : 18; 2 Ti. 2: 25; Rom. 2: 4; 2 Pi. 3: 9; Héb. 6: 6; 12: 17; 2 Cor. 7: 10) , et oeuvre de l'homme (Luc 16: 31 ; Apoc. 9: 21 ; Mat th. 11 : 21 ; 21 32), sans qu'il soit possible de déterminer exactement la part de l'un et de l'autre.
    Extrait du livre «Il faut que vous naissiez de nouveau »
    Edition Ligue pour la lecture de la Bible. CH 1010 Lausanne (Suisse)

    Bon weekend

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